- Si tu me touche, tu crèves. | Libre |

Invité

Si tu me touche, tu crèves.
D'habitude, je dis autrement dit, mais là c'est vraiment ce qu'elle veut dire !

- Si une personne décidait de compté le nombre d'imbécile sur terre, elle devrait déjà se compté parmis eux.

La musique était à son plus fort, les lumières étaient lumineuse, les danseurs ne manquait pas et les buveurs non plus. Les boules disco et les spots de lumière donnais des couleurs vivaces à ce bar ringuard. J'étais habillé d'un ensemble plutôt serré qui mettait en valeurs mes attributs. Maquillé à la légere, les cheveux ondulé sans oublier l'air bête. Dès que j'étais rentré, environs vingt tête s'étaient tourné.

« Sales pervers ! », voulais dire mes yeux.

Quelque courageux venaient m'adressé la parole, ce qu'ils devaient regretté après. Un autre malheureux vînt justement.

« Bonsoir mademoiselle. Vous êtes seule à se que je vois. Voudriez-vous de ma compagnie ? », dit-il avec une voix trop grâve.

« La mademoiselle est seule en effet. Elle veut le restez aussi. Alors je vais t'expliqué ce que tu vas faire, d'accord ? », lui répondis-je.

« Je euh ... », commença t-il.

« Pour commencer, tu vas garder ton argent pour ton compte en banque ou pour te soulé, à ta guise. Ensuite, tu vas allez rejoindre tes petits amis et tenté de ne pas être encore humilié par mademoiselle. Pour finir, tu vas rentrer chez toi tout seul. Peut-être reviendras-tu ici le lendemain, c'est toi. Je te redirais la même chose. »

Il ne me répondit pas et partie plus loin, draguer les filles faciles.

« Rien qu'un connard. », dis-je pour moi-même.

J'avais dix-sept ans, mais j'en faisais plus physiquement et mentalement. On aurait pu dire que j'en avais vingt-cinq maximum. Je pouvais alors avoir toute les boissons du bar. Vive les loups-garous et leurs mutations qui gache la vie des personnes ! Surtout moi mais on s'en fiche royalement. Oui, j'étais d'une humeur massacrante en cette soirée banale et ça parraissait.

« Monsieur ! Ici ! », dis-je en fesant signe au serveur.

« Oui, je vous sert quoi ? », me demanda t-il.

« Ce que vous avez de plus fort. », annonçais-je.

Il ne parût pas surpris. Il devait être habituer des gens bougons avec le temps.

« D'accord, je reviens tout de suite. », dit-il en partant.

Mes doigts tapotèrent aussitôt le contoir en saquato.

« Tenez. », dit-il.

« Combien je vous doit ? », demandais-je en ouvrant ma sacoche.

« Absolument rien. Quelqu'un a payer pour vous. », dit-il avant de partir, moqueur.

Et il manquait plus que celà !Je grogna intèrieurement. C'était qui ?! Encore un idiot surement.

Invité

Je devais m'amuser, me changer les idées. Direction -> La boîte ! Ah oui, cette musique et ces lumières, j'adorais ! C'était peut-être le seul endroit où je pouvais me lâcher un peu. Alors comme a toute les fois, je revêtis un ensemble fait pour le moment, petit haut laissant voir mon ventre, une petite veste par-dessus ouverte et des shorts qui m'allait en haut de la cuisse. Je plaçais un peu mes cheveux, puis sortis par la fenêtre comme a mon habitude. Je ne voulais pas que Luc et Michèle soient au courant de mes petites excursions. Ça leurs feraient trop mal d'apprendre que j'étais une petite rebelle. Par chance, il ne pleuvait pas. C'était une belle soirée qui commençait.

En arrivant a la boîte de nuit, je me mis en file. J'attendis patiemment sans me presser. Je n'étais pas du genre a avoir peur lorsque je faisais une chose interdite. Arrivé devant le grand gallard, je lui présenta ma fausse carte avec un beau sourire. Il me laissa entrer comme a toute les fois. Je fallis rire en me disant que j'étais peut-être devenue une ''Habituée''. Peut-être que c'était le cas. J'haussa les épaules. Lorsque j'entra dans a pièce, je fut baigné de lumière de son un envoutement sans égal. Je pris une grand respiration, puis sourit et me lança dans la foule. Je dansai seule, oubliant tous mes problèmes à la maison et oubliant les gens autour de moi. Je trouva quelques partenaires ici et là, mais ce n'était que de la danse, même si nous étions parfois très proche. Je riais, je souriais, j'étais vraiment dans mon élément.

Mais tout le monde a besoin de se reposer parfois, non ? Je quitta mon partenaire du moment, puis me dirigea vers le bar. Je me plongea dans une discussion amusante avec le barman. Puis je vit cette femme, enfin, jeune femme, assise de l'autre côté du bar. Elle avait l'air farouche, car tout les prétendants partaient sans demander leur reste. Cela me fis rire. Et en voilà un autre qu'elle envoya sur les fleurs ! Comment pouvait-on avoir du plaisir si on est sans cesse interrompu ? Ah..les hommes ! Elle demanda a boire a Terry que j'interceptai.

-Tiens Terry, lui dis-je en lui donnant de quoi payer le verre a cette tigresse.

Le barman haussa les épaules et alla donner le verre a la cliente. Je la vis alors tourner la tête vers moi. Je lui adressa un salut amical, puis m'approchai d'elle pour venir m'assoir a sa droite.

-Yo, dis-je en guise de salut en plus d'un signe de ''peace'' et avec un sourire. Ça va ? Désolé de te déranger, mais étant deux, ils auront moins d'espoir et ils n'oseront pas s'approcher. Quoi que tu semblais bien t'en tirer.

Je ris avec légerté.

Invité

À peine quelques secondes plus tard, une jeune femme vînt me voir. Les cheveux noir et des yeux bleu foncé, elle était habillé de vêtements assez osé que je ne porterais jamais de ma vie. Que voulait-elle celle-là ?!

« Yo, commença t-elle en me faisant un peace et toute souriante. Ça va ? Désolé de te déranger, mais étant deux, ils auront moins d'espoir et ils n'oseront pas s'approcher. Quoi que tu semblait bien t'en tirer. », rit-elle.

Je l'a regarda longuement. Puis je soupira.

« Je suis d'une humeur massacrante ce soir, alors si j'étais toi, je ne m'approcherais pas trop. », crachais-je un tentinet saoule.

Je bu le liquide d'un coup.

« En passant, merci pour le breuvage. Ça me feras peut-être oublier toute ma vie de merde pour une soirée. », dis-je en essayant de sourire.

Un mec s'assis à côté de moi. Ils ne pouvaient pas me lâcher ?

« Ça recommence ... », soupirais-je.

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Elle me regarda pendant un moment, puis me dit gentiment qu'elle n'était pas de bonne humeur et que si je tenais a la vie que je devais dégager. Tout compte fait, elle n'avais pas rentrer ses griffes. Je n'avais peut-être pas dû lui payer ce verre, cela ne semblait pas être son premier, car elle parlait un peu d'une façon engourdit. Une colère monta en moi. Ne pouvait-elle pas être reconnaissante au lieu de me critiquer et me demander d'aller voir ailleur ? Non, mais quel cullot ! Je pris une grand respiration pour reprendre mon calme. Après tout, je l'avais cherché, c'était moi qui s'était immissée comme ça, sans demander. Je commanda un verre a Terry. J'allais en avoir besoin. Au faite, je n'avais pas bouger de ma place.

-Peut-être que toi tu partirais, mais tu n'est pas moi justement, répondis enfin du tac au tac.

Je pris mon verre que le barman m'avait donné et le paya pendant qu'elle but le sien. Eh bien, ce n'était pas une gorge ça, c'était un gouffre sans fond ! Elle parla de sa vie de merde en essayant de sourire. Cela me fit rire. Un rire sans joie. Elle croyait que sa vie était une merde ? Bon sang, elle n'avait pas vécut la mienne !

-Elle est bonne cella-là ! dis-je lorsque je repris mon calme.

Je but mon verre d'un coup et fis une légère grimace sous le nuage de chaleur qui traversa ma gorge. Ça c'était du fort ! Je remercierais Terry tout à l'heure.

-Ça recommence ... soupira-t-elle.

Je levais mon regard vers elle, puis vit l'homme assis a sa gauche qui commençait a flirter. Je soupirai, puis me leva pour contourner la tigresse, puis je me posta devant l'ivrogne. Celui-ci ne m'ignora pas, loin de là ! Il m'adressa un sourire qu'il se voulait charmeur, mais je fis une grimace dégoûté discrètement. Puis, je l'aggripa par le collet pour venir l'embrasser fougueusement avant de le laisser retomber par terre.

-T'as eu ce que tu voulais ? Maintenant fiche moi le camp !

L'homme sourit et retourna vers ses potes qui le félicitèrent de ce mouvement. Je soupira, puis retourna m'assoir.

-Quel bande de plouque...

Terry m'amena un autre verre disant qu'il me l'offrait. Je le remerci, puis but mon verre d'un coup, pour enlever ce goût horrible.

-Toujours aussi aggressive, souris le barman.

-C'était ça ou le poing, j'ai jugé préférable de ne pas mettre la pagaille.

Je me tourna alors vers la jeune femme.

-Tu vois ? C'était pas si difficile.

Invité

« Peut-être que toi tu partirais, mais tu n'est pas moi justement. »

Maintenant elle me cherchait ? C'est la meilleure ! Elle ne sait même pas à qui elle a affaire !

Elle émit une commentaire quand je lui dis que ma vie était de la merde. Elle voulait faire compétition ? Pas d'problème.

Elle embrassa le pervers qui parta tout joyeux. Elle partie une petite conversation avec le barman.

« Tu vois ? C'était pas si difficile. », dit-elle.

Je ne réagis pas. Je soupira de nouveau et je pris la parole.

« Qu'est-ce qui t'emmène ici ? Je ne crois pas que tu viens pour moi, qui viendrais pour moi de toute façon ? », dis-je melancolique.

Je devais vraiment être bouré ce soir, mon humeur changeait rapidement. Mais je m'en fiche. J'écoutais son récit. Me bornant à la regardé quelque fois. Je devais avoir une sale tête d'alcolique.

Invité

La jeune femme n'émit aucun commentaire sur ma façon d'éloigner les hommes perverts alors je repris le silence agitant légèrement la tête au rythme de la musique assourdissante. Ce ''silence'' ne dura pas, car, la jeune femme reprit la parole. Ce que je faisais ici ? Oh, elle finit sa phrase avec un commentaire de désespérée. Voulait-elle se suicider ou quoi ? Je soupirai.

-Bah non, je suis pas venu pour toi. T'es tellement saoûlante que j'ai du mal a t'imaginer avec des amis.

Je me demandais comment elle réagirait si je lui disait ce qu'elle voulait entendre, mais je repris plus sérieusement.

-Je viens ici souvent, pour échapper au monde réel. Ma vie est chiante et je viens ici pour m'amuser, me changer les idées. Et toi, miss dépressive ?

Invité

« Bah non, je suis pas venu pour toi. T'es tellement saoûlante que j'ai du mal a t'imaginer avec des amis. », me dit-elle.

Moi aussi, aurais-je pu rajouté. Mais je l'a laissa continuer.

« Je viens ici souvent, pour échapper au monde réel. Ma vie est chiante et je viens ici pour m'amuser, me changer les idées. Et toi, miss dépressive ? »

J'avais l'air si désepéré que ça ? Arff et puis !

« La même chose sauf sur ce qui est de s'amuser. », dis-je d'un souffle.

Je fis signe au serveur.

« Encore la même chose. », commendais-je.

Peut-être qie cette rencontre allait être interressante. Qui c'est ?
Nous nous sommes juste dit des vacheries pour le moment mais on sait jamais.

Invité

Tout sauf s'amuser ? Mais que faisait-elle dans l'endroit où tous le monde fêtait jusqu'à se vomir les entrailles ? J'eu une soudaine envie de l'amener sur la piste de dans, mais elle avait plus l'air d'une personne qui pourrait fondre en larme a n'importe quel moment. Quoi qu'elle ne paraissait pas encore sur le point de craquer. Tant mieux, je ne m'étais pas retenu de pleurer pour rien. Je n'avais pas pleuré lorsque j'étais sous le lit, je n'avais pas pleuré lorsqu'on enferma mon père et je ne craqua pas non plus a l'enterrement et je n'allais pas pleurer maintenant ! Ça non ! Enfin, changeons de sujet, voulez-vous ? Tiens, la tigresse se commanda encore un verre. Elle n'en avait pas assez ? Bon, ce n'est pas moi qui allait lui dire d'arrêter. Terry me donna le verre pour que je puisse le passer a mon ''amie''. Je lui présenta et elle le prit. Je fronçais des sourcils. Sa peau était brûlante...si chaude. Peut-être me faisais-je des illusions soit elle avait une grande fièvre ou alors...

Non, je me faisais des idées. J'en avais rencontré quelques-un en Floride, mais a Forks ? Les légendes Quileute ! Je porta systématiquement ma main a mon collier. En faite, ça ferait du sens. Le Cullens sont revenu alors, les loups aussi ? Et cette femme... Je la regardais intensément, puis lorsqu'elle le remarqua je détourna rapidement mon regard.

*Impossible...Vite pense a autre chose !*

-Heum...Je crois qu'avec tout ça, on ne sait pas présenter. Moi c'est Amy.

Je lui présenta ma main. Pour vu qu'elle ne se pose pas de questions sur mon regard de tout a l'heure !

Invité

(Je crois que tu as mal compris. Elle a dit : Pour les mêmes choses SAUF s'amuser. Alors c'est tout mais pas ça. =3)

Je me calma un peu sur l'alcool. Je le bu tranquillement tout en remarquant qu'elle me regardait avec attention. Quoi encore ?

« Heum ... Je crois qu'avec tout ça, on ne sait pas présenter. Moi c'est Amy. », commença t-elle, nerveuse.

Qu'avait-elle ? Elle s'avança la main pour une pogner mais je ne l'a fit pas. C'est là que j'eu une déclic. Savait-elle ce que j'étais ?

« Gabrielle Smith. », lui répondis-je sereine.

Comment elle aurait bien pu le deviné ? Nous étions assez éloigné pourt... mais j'avais bu. Dans ce temps là, ma température peut monté encore plus. Merde ! Je me tus et repris une gorgée de mon breuvage.

Invité

Je ramena ma main sur le comptoir un peu frustré. Ne pouvait-elle pas faire un effort ? Non, mais elle pourrait être sympa pour une fois ! J'avais de la prendre par le collet et la giflé en lui criant: «J'ai droit au respect ! Soit plus sympa, bordel !». Ça devait être l'alcool. Enfin, j'esperais. Et puis, qui disais qu'on allait se revoir ? Peut-être qu'elle habitait la réserve. Malgré son impolitesse elle se présenta tout de même. Gabrielle. Jolie prénom. Ainsi Gab reprit une gorgée de son verre d'alcool. Je devins alors muette. Que dire ? Je l'ignorais. Tout ce que j'avais en tête en ce moment c'était la chaleur de sa peau. Je n'arrêtais pas de tenter de me dissuader ce qu'elle était, mais c'était plus facile à dire qu'à faire. Ce pourrait-elle que Gabrielle soit un loup-garou ? Le pire dans tout ça, c'est que je ne pouvais pas lui demander. Parce que même si elle l'était vraiment, les siens seront bientôt au courrant que leur secret n'est plus aussi bien gardé qu'il ne l'était autrefois et si elle ne l'était pas, j'aurais l'air d'une bodruche ! Cependant je préférais avoir l'air d'une cinglé qu'avoir une horde de loup après moi.

Je lui jetais un coup d'oeil, puis me ravisais. Je tentais d'avoir l'air aussi naturel que possible et j'en conclu au regard de Terry que j'y arrivais magnifiquement. Souriante, toujours la tête qui balançais en rythme avec la musique derrière. Parfais. Je bu un autre verre d'une traite. Je n'avais pas peur d'elle. J'avais peur de moi-même. J'avais peur que je ne puisse pas me retenir et que je lui demande vraiment ce qu'elle est. Non, je ne devais.

-Alors Gab, en quoi ta vie est merdique ?

Je n'avais pas trouvé mieux. Seulement c'est vrai que je voulais savoir en quoi sa vie était pire que la mienne. La pièce s'est alors mise a tourner autour de moi. Je fermai les yeux. Mauvaise idée. Un flot de souvenir que j'avais rangé dans un tiroir de mon cerveau refit surface. Le visage horrifié de ma mère, la voix de mon père, le bruit du coup, le sang, son visage qui m'implorait...J'ouvris les yeux, légèrement humide, puis commanda un autre verre. Je me remis a jouer avec mon pendentif.

Invité

« Alors Gab, en quoi ta vie est merdique ? », me demanda Amy.

Ça allait être long. Je pris une gorgée et inspira un grand coup.

« Pour commencer, ma tête. C'est toujours la même chose. "C'est rien qu'une sauvage cette fille ! J'aurais le goût de lui donné mon poing !" et tout le tralala. Je ne suis pas douée pour les approches et tout ça. Je suis une solitaire et je vais le rester même si ... », je soupirais.

Je ne pouvais absolument rien lui dire. C'est une simple habitante de Forks qui a un énorme courage. Je ne pouvais lui dire mon secret, mes origines.

« Assez du présent, maintenant mon passé. Je n'ai jamais connue mes parents. Mon père était un salaud fini qui a laisser ma pauvre mère enceinte seule. Dès que je me suis pointé dans ce monde pouf ! Il fallait qu'elle meure en disant ce fichu nom. J'étais son ange. Étant une fille, on a juste changé Gabriel en Gabrielle. J'ai été adopté par les Smith. Un couple ne pouvant avoir d'enfant. J'ai été leurs substisu naturellement, je l'ai compris à sept ans. L'argent ne manquait pas c'est vrai mais je me sentais toujours responsable de sa mort 24h/24. L'histoire s'est propagé dans l'école et on riait de moi. C'est là que je suis devenue "sauvage" à se qu'il parait. J'en est eu assez et à quinze ans, je suis partie trouvé une partie de ma vrai famille. Je suis restez à Forks depuis que j'ai trouvé de la famille éloigné ici. Je cherche toujours mon père. Pourquoi ? Il mérite d'avoir sa leçon. », racontais-je.

Je l'a regarda. L'avais-je fais peur ? Ma dernière phrase était surement de trop. Elle avait presque une goute sur le bord des yeux. Elle jouait avec son medaillon. M'avait-elle au moins écouté ?

« Arff et puis de toute façon, qui s'en ferait pour moi ? En quoi ma vie t'interresserais ?! Je suis une nulle, une conasse, une alcoolo, un monstre ignoble. Je ne suis pas mieux que ses pervers dégueulasse. Si ma mère me verrait en ce moment, elle aurait honte de m'avoir appeller Gabrielle. », dis-je en posa les coudes sur le contour et en enfouissant ma tête à l'interieur de ses derniers.

Avait-elle plus grâve que tout ça ? En rajoutant bien sûr l'horreur de vous muter en loup-garou et de ne plus être normale ?

Invité

Je l'écoutais du mieux que je pouvais. Il y avait la musique qui enterrait un peu sa voix et mes souvenirs qui revenaient en flashback. Mais j'écoutai son histoire. Elle était une solitaire tout comme moi. En écoutant son histoire je m'étonna à penser que l'on avait plusieurs point en commun. C'était vraiment incroyable..presqu'horrifiant. Je fronçais des sourcils lorsqu'elle s'interrompit dans son élan. Aurait-elle voulut parlr de sa situation par rapport aux légendes ? Peut-être, mais je ne l'interrompit pas lorsqu'elle reprit. Gab me raconta son enfance jusqu'à son désir de vengeance. Je n'en revenais pas ! Notre histoire, notre passé était si semblable. Je ne gardai cette expression ahurie que quelque secondes, puis je redevint sérieuse.

Gab se repris en se traitant de tout les noms inimaginable. Je soupirai. Je savais que ce n'était pas ce qu'elle pensait d'elle. Elle en voulait qu'à une chose; la vie. Dans sa situation, on a l'impression que la vie s'est amusé a nous écraser tout au long de notre croissance et qu'elle n'est jamais satisfaite, qu'elle continue de s'acharner sur nous. C'est horrible comme sensation et malheureusement...cette sensation était mon amie la plus proche. Elle et sa meilleure amie a elle, le chaos.

-Arrête un peu, tu sais que c'est faux. T'as l'air du genre a insinuer de pas vouloir d'attention, mais en réagissant ainsi on dirait tout le contraire.

Je soupirai de nouveau.

-Je sais ce que tu ressens...T'as l'impression que tout s'écroule, mais tu es trop fière pour l'avouer. Tu t'amuses à la place a te rabaisser pour que les gens autour de toi te prouve le contraire. Du moins, tu espère qu'une personne le fera. Tu cherches qulqu'un pour te sortir de ta douleur, quelqu'un qui soit capable de te comprendre, quelqu'un à qui tu pourras tout dire.

Je fis une pause me moquant de sa réaction. Mon regard se perdit dans la contaplation de mon nouveau verre que Terry venait de me donner.

-Malheureusement...moi non plus je n'ai pas trouvé ce quelqu'un...Moi, je suis née dans la terreur de mon père. À mes onze ans, mon père battu a mort ma mère qui m'était si chère, elle est morte...Mon père est en prison, mais je continue a faire des cauchemards a son sujet. Ça me pétrifie sur place. J'habite depuis ce temps dans une famille d'accueille, moi aussi. Pas génial. Au Lycée, on ne riait pas de moi, mais on m'observait avec attention, comme si pour la première fois, j'existais. Sur mon passage, les murmures s'élevaient et les rumeurs s'amplifiaient.

Autre pause.

-Tu vois ? On est pas si différente.

Je bu enfin mon verre, d'un coup sec.

Invité

Pourquoi lui avais-je tout dis ? En fait, je ne lui avait pas tout dit, mais quand même. Nous étions dans un boîte de nuit, sur la voix d'être saoule à se rencontrer nos malheurs. Maintenant elle me consolait ! Non mais bordel, avoir su je ne serais pas venue. Toujours la tête sur mes bras, je l'écoutais. Je releva rapidement la tête dans sa direction quand elle me parla de son père. Ainsi, elle aussi avait un père sans-coeur et en plus assassin. Mais mon père aussi en était un. Pourquoi ? Il savait bien que ma mère ne survivrait pas et en partant, il a raccourcit encore plus sa vie.

« Tu vois ? On est pas si différente. », dit-elle.

« Bien sûr ! C'est juste que moi je suis une louve-garou ! Ce n'est rien, aller devenons meilleure amie ! », pensais-je, sarcastique.

« Si tu le dis. », dis-je finalement.

Je m'étira longuement.

« Si je bois encore, je ne pourrais pas rentré chez moi sans tombé à terre. », annonçais-je plus pour moi-même que pour elle.

Invité

Gab ne répondit qu'un simple peut-être a mon discours. Une légère humiliation, mais elle était saôule alors je ne m'en faisait pas vraiment, de plus, j'étais pas loin de l'être aussi. Je remis l'argent a Terry pour payer les verres que j'avais pris en tout, puis regarda la loup-garou s'étirer. Oui, maintenant j'en étais sûre. Elle en était un, mais à présent, cela ne me faisait plus peur. J'étais plutôt du genre a lui poser plein de question. Ce qui est pareille au histoire Quileute et ce qui y diffère. Mais il fallait que je me retienne. D'ailleur, j'arrêta de boire, car soit je finirais par n'être plas capable de marcher, soit j'allais me trahir. Ce dont je ne voulais pas.

Gab dit aussi la même chose à propos de ne plus marcher. Sincèrement, j'aurais voulu l'aider. Peut-être était-ce l'alcool, car si j'étais moi-même je m'en foutrais, car elle avait passé sa soirée a me critiquer et ma m'insulter. Je soupirais, puis tourna de nouveau mon regard vers elle.

-Tu danses ou tu sais pas comment ?

Peut-être était-elle assez saoûle pour faire ça. Danser sous les lumières multicolores. Pour faire quelque chose dont je suis certaine qu'elle ne ferait pas a jeun.

Invité

Elle soupira.

« Tu danse ou tu sais pas comment ? », me demanda t-elle tout à coup.

Je fronça les sourcils. Quoi ?! Où allait-elle chercher ses idées ?! On était au bord d'être saoule et elle voulais danser ? Arff et puis, chacun son truc.

« Déjà que je ne sais pas comment, comment veux-tu que j'essaye presque saoule ? Je crois qu'il serait le temps pour moi de partir d'ici ... », dis-je.

Je commençais à avoir la migraine et je bailla. J'étais plus brulante que jamais. Il devait être dans les petites heures du matin non ? Mais de toute façon, trainer avec elle devenait dangeureux pour moi. Si elle découvrait le secret de ma famille ...

Invité

J'ignorais si les loup-garous pouvaient contenir leur chaleur, mais en ce moment ça ne marchait pas trop pour Gab. D'où j'étais assise je pouvais sentir la chaleur de sa peau. Wouha ! C'était une fournaise cette fille ! Était-ce comme avec tout loup-garou ? Cette question me brûlait les lèvres comme tant d'autre, mais je n'étais pas encore assez engourdis pour tout déballer. Elle aussi l'était un peu. Elle déclina mon invitation et j'haussa les épaules, indifférente. Gab dit alors qu'elle devait rentrer.

-Je te raccompagne si tu veux, déclarais-je.

Elle allait refuser, j'en était certaine, mais bon. Si elle acceptait, j'allais avec elle, mais elle fallait que je rentre bientôt, pour na pas inquièter les deux autres qui m'attentaient a la maison. Peut-être même d'un pied ferme, conscient de ma fuite temporaire. Ils allaient peut-être me disputer, mais j'allais les ignorer comme toujours et je recommencrais demain. C'était aussi simple que ça. Ah les parents...! Quel inutilité !

-Mais bon, je ne t'oblige pas. Seulement, deux filles bourrées, c'est mieux qu'une, non ?

Invité

Quelques secondes passaient, et elle se remit à me parler.

« Je te raccompagne si tu veux », déclara t-elle.

Je ne répondis pas.

« Mais bon, je ne t'oblige pas. Seulement, deux filles bourrées, c'est mieux qu'une, non ? », ajouta t-elle.

Ça devait être le genre de fille qui ne vous lache pas d'une semelle. Oui ou non ? Accepté ou refusé ? Si je disais oui, allait-elle être pire qu'ici avec ses questions ? Ou si je disais non, allait-elle me suivre tout de même ? Toute ses réflexions me firent encore plus mal à la tête.

« Je te comprends pas, Amy. Je t'insulte depuis tout à l'heure et tu es encore là. Maintenant, tu veux partir d'ici en ma compagnie ? Tu es ... étrange. », commençais-je.

Pas autant que moi sur l'étrangeté mais bon.

« Mais si tu veux. Moi je m'en fiche complètement. », fini-je.

Par chance, j'avais de vieux billets d'autobus. Car même si je détestais être une louve, je savais utilisé les avantages. Àllez à destination plus vite par exemple ! Mais bon ... pas aujourd'hui. Je me leva tranquillement, et marcha vers la porte de sortie sans regardé si Amy me suivait.

Invité

Le silence entre moi et Gab n'était pas comparable au silence qui n'existait pas autour de nous. Je me demandais bien pourquoi j'étais venu voir Gabrielle, peut-être parce que j'avais bus avant de la voir repousser tous les pauvres mecs qui étaient venu tenter leur chance. D'habitude, j'aurais resté dans mon coin regardant la nouvelle façon dont elle s'y prenait pour renvoyer la vermine. J'aurais rit tout ou plus. Mais j'étais venu. Je l'avais écouté. Je me suis rendu comtpe a quel point je devais être chiante lorsque j'étais a mon humeur normal ! Je sentis alors le regard de Gab sur moi, mais je me contentai d'observer à l'intérieur de mon verre vide.

-Je te comprends pas, Amy. Je t'insulte depuis tout à l'heure et tu es encore là. Maintenant, tu veux partir d'ici en ma compagnie ? Tu es ... étrange.

J'eu un soupire qui sembla plutôt être un mini rire. Je tourna alors mon regard sur elle, puis je haussa les épaules indifférente. La vérité ? Oui, elle m'insultait depuis tout à l'heure, mais je me reconnaissais en elle. Elle était sous doute lus vielle que moi, ça se voyait, mais... Enfaite, nous avions la même atitude pour le même passé. Et puis, moi ? Étrange ? Elle ne s'était pas regardé ! Bon dieux, elle qui était loup-garou et c'était moi qui était étrange ? Cela me fit sourire.

-Tu t'es pas regardé.

Je me figeai, mais j'espérais qu'elle prenne cela sur son style vestimentaire et non sur le fait que je connaissais sa véritable identité. Gab finit tout de même à me donner le choix. Je pris alors mes affaires, ma veste en paranthèse, puis je me levai a sa suite. Je salua Terry, puis continua mon chemin derrière Gabrielle.

[HRP: Est-ce qu'on fait un autre sujet dans; Rues et Ruelles. Ou on continu dans celui-ci ?]

Invité

(Je vais faire un sujet ! Je te l'envoies ensuite par mp)